». Parallèlement, seront mises à jour des indications permettant de nuancer thèse et antithèse à l’aune d’une approche éthique de la problématique. Cette mesure symbolise et concrétise la constitution d’une communauté musulmane nettement différenciée de l’environnement polythéiste arabe. Le mariage est un consentement, donc soyons majeurs et vaccinés et prenons notre propre responsabilité car personne ne nous amenera au paradis à part notre foi. Mais celle-ci fût introduite à l’Islam après la mort de notre Prophète sallā allāh alayhi wa-salam, qui ne l’a, lui-même, pas subi, ni fait subir à aucun de ses 3 fils, ni ses petits-fils. Premièrement, elle est à rapprocher du propos équivalent en S60V.10 : » Seul Dieu connaît réellement leur foi, mais si vous les jugez croyantes ne les renvoyez pas ». Lesquelles, de notre point de vue, vont bien au-delà de ce qu’une simple interdiction imposerait à l’homme et à la femme ou plus encore aux seules femmes comme on le prétend, en terme de purification des intentions de l’âme et du coeur. Point capital, la formulation « A ce jour vous est permis ce qui est excellent » appliquée aux précisions relatives au mariage n’est pas à proprement parler une autorisation levant une interdiction préalable ou introduisant une exception à la règle précédemment édictée. Elle est dirigée par des étudiants salafi de l’Université Islamique de Médine. Al Qurtubi, Al-jamî° li-ahkâm al-qur'ân, Le Caire, 1387/1967, Dâr al-kitâb al °arabî lil-tibâ°a wal-nashr, t. 3, p. 67 et s. ... la question de la "culture" (pays d'origine, voire région lol) est également importante. Car, à bien lire le verset, il est dit très précisément non pas « d’entre les Gens du Livre » mais « d’entre ceux qui reçurent le Livre avant vous ». Tout particulièrement à cette époque où la femme, comme toute possession, était objet de convoitise purement matérielle. Nous connaissons les circonstances de sa révélation, ce qui permet d’en préciser le sens et la datation. Il fait suite chronologiquement au précédant. Exactement, la concision du format de présentation de « Que dit vraiment le Coran » ne permet pas de longs développements. 26 décembre 2020, 12 h 15 min, par William Blob tu en penses quoi ? L’islam n’émet aucunes réticences par rapport à la mixité dans le mariage. de l’Univ 6 Les sociologues de la famille ont étudié différentes formes de mariages mixtes. Mes parents sont contre le mariage mixte et je suis d’accord avec cette pensée là je ne vais pas lâcher mes parents pour une arabe alors que mes parents m’ont … Bien au contraire, Allah dit explicitement: « Épousez les chastes parmi vous ainsi que les pieux parmi vos esclaves, même s’ils sont pauvres, Allah les enrichira par Sa grâce.» (s.24 v32). En autres dispositions, il avait été stipulé et accepté par les deux parties signataires, le Prophète SBSL et des notables Quraychites, que tout musulman qui s’enfuirait de la Mecque devrait être remis par les musulmans aux dits Quraych. N’en déplaise aux pratiquants de l’anathème nous avons apporté en « Que dit vraiment le Coran » des dizaines de versets en faveur de ce point essentiel : les croyants des autres religions ne sont pas exclus par Dieu. C’est écrit dans le ciel que je vais épouser cet homme que j’aime, père de mon plus jeune, tel que nous le prévoyons, et je souhaite que ce soit dans une mosquée, sinon, ce sera devant notre Créateur quant même, mais ailleurs. La différence est importante car, comme nous pourrons le constater, l’analyse fine des versets concernés laisse apparaître de sérieuses limitations à ce que l’on ne pourra qualifier d’autorisation tolérante. En fonction des règles sociales et économiques de l’époque, une femme seule était en danger de mort. Au final, ce verset indique en un concept plus limitatif que permissif la possibilité de mariage des musulmans avec des Dames vertueuses des Gens du Livre. Nous notons la parfaite symétrie de droit et devoir des musulmans et des musulmanes. Ils récitent aux heures de la nuit les versets de Dieu et se prosternent. Eric Coquerel (LFI) : “Le voile d’une mariée chrétienne signifie qu’il y a une soumission de la femme à son époux. Mariage mixte. Tel est l’arbitrage décidé par Dieu s’appliquant entre vous, car Dieu est Savant et Sage. S’agissait-il de ceux antérieurs à l’Islam ? De ce fait, une forte tradition existe aujourd'hui dans les aires culturelles où cette religion a étendu son influence, ainsi qu'un droit spécifique, qui diverg… Bienvenue sur le site du mariage mixte,ici vous trouverez toutes les informations utiles et détaillées pour vos démarches administratives et des conseils pertinentes pour votre vie de couple que ca soit avant ou après l'arrivée des enfants .bonne lecture! En France, c’est la femme qui a généralement la garde en cas de séparation et l’éducation des enfants, qui en théorie se fait à 2, dans bien des cas est faite par la femme, souvent plus disponible. Le sens véritable de la religion selon Ghazali, Marie chez les mystiques chrétiens et musulmans, Pour en finir avec la religiosité aliénante, Pour un message de paix: en quoi le Coran respecte les religions juive et chrétienne, Du dialogue en général au dialogue interreligieux en particulier, L’équipe Oumma présente ses meilleurs vœux aux chrétiens pour Noël, Suède : plusieurs enseignantes non musulmanes arborent le voile en signe de solidarité avec la communauté musulmane, Maroc: “le pain commercial serait à l’origine du cancer“, avertit la Fédération des droits du consommateur, Le député M’jid El Guerrab : “Moi, ma maman porte le voile..“. Les aspects interculturels du mariage mixte : analyse conversationnelle Najat ZOUADI Université Chouaïb Doukkali. Or, de façon remarquable, le Coran n’emploie jamais le féminin de kâfir alors même que l’on trouve le féminin de croyant, mu’mina, d’hypocrite munafiqa, etc… Ceci provient du fait que l’emploi néologique de kâfir dans le Coran se fait essentiellement au pluriel kâfirûn. En raison de la différence de culture entre mon épouse et moi, nous n'avons appris aucune religion à nos enfants. par Seydi Diamil Niane De même les Dames respectables d’entre les croyantes et les dames respectables d’entre ceux qui reçurent le Livre avant vous, à condition que vous leur remettiez leur dot. Ce pluriel féminin de forte consonance, kawâfir, est donc le symétrique de kuffâr ce que confirme l’égalité de traitement des musulmans et des musulmanes en ce verset quant à la catégorie leur étant désormais interdit d’épouser, les polythéistes hommes ou femmes. %privacy_policy%, Vous n'avez pas de compte ? Ce qu’il faut entendre par Gens du Livre a fait l’objet d’âpres discussions chez les exégètes. S3.V113-115 : ” Ils ne sont pas tous égaux. Cela dit en 1977 les mariages entre des Français et des Italiens ou Espagnols représentaient 31% des mariages mixtes alors qu’en 2015 ils ne représentent que 4%. Il s’agit en fait d’une révolution culturelle, une esclave croyante étant préférable à une belle de famille noble et païenne, la foi doit l’emporter sur le rang social. L’on peut de par cet éclairage en déterminer les indications : Il introduit une notion supplémentaire ; jusqu’à présent les mariages de ce type ayant été contractés avant l’interdiction édictée en S2.V221 étaient maintenus. C’est malheureusement, et contre le Coran lui-même, une conception courante et une affirmation exploitée par les jurisconsultes.[iii]. Pour résumer à l’extrême : l’axe essentiel de notre méthode exégétique passe par une lecture questionnante. Ces trois remarques, nous le verrons, s’opposeront à un prétendu vide juridique. Elle sera alors assujettie à des critères similaires à ceux imposés aux hommes musulmans. Il parait pourtant évident, islamiquement, qu’il est interdit à une musulmane d’épouser un non musulman ! Clairement, le Coran interdit le mariage mixte dans un seul cas, et cela autant pour les hommes que pour les femmes, dans le cas du mariage avec un.e associant.e. Tel sont les vertueux, quelque bien qu’ils fassent il ne leur sera pas dénié, car Dieu sait parfaitement qu’ils sont gens de piété. Vous devez vous connecter pour publier un commentaire. Le verset se conclut par un appel à la réflexion afin que le croyant et la croyante ne se laissent pas tenter par les jouissances et les illusions éphémères de ce monde et privilégient le choix et la voie de l’adoration pleine et entière du Seigneur des mondes. C’est dans ces circonstances que ce verset fut révélé. .. En effet, l’emploi des termes kuffâr et kawâfir désignent étymologiquement dans le Coran les dénégateurs, ou les incroyants comme d’aucuns le traduisent et le pensent couramment. Demandez alors ce que vous leur aviez donné comme dot, tout comme ils réclament ce qu’ils avaient dépensé. Question: Est-ce qu’une femme musulmane peux se marier avec un homme non-musulman? e pour rédiger un commentaire. Deuxièmement, elle indique aussi que celui qui dénie sa propre foi pour contracter mariage par pure licence ou profit, ruine de par cette intention ses actes. https://t.me/MSALIKIN Nous avons dégagé lors de l’exégèse ci-dessus les nombreuses limitations morales et sociologiques ayant trait au mariage en général et aux mariages « mixtes » en particulier. Je vous demande pardon si mes propos sont déplacés ? Donc, comme pour kuffâr, kawâfir indique la séparation dogmatique et théologique tout autant que sociale. Notons que jusqu’à une date relativement avancée, 18 années de prédication prophétique, de nombreux musulmans et musulmanes avaient donc pour conjoints des polythéistes sans que cela n’eut posé de réels problèmes. La précision « avant vous » lève toute ambiguïté car « antérieur à l’Islam » valide ces religions en leur état historique et stipule ainsi que sont ici désignés tous ceux qui se prévalent d’une religion scripturaire quelque soient leurs statuts actuels. Nous savons tous que du temps de la Révélation, cela désignait les religions arabes dont les Quraychites demeuraient de fidèles défenseurs face à l’appel monothéiste. Lorsque j’aborde le sujet avec des frères musulmans, ça les choque, que je leurs dise que ce n’est pas interdit, en m’inventant que les chrétiens sont des associateurs. Dans le langage coranique il a valeur de collectif incluant de fait les hommes et les femmes sous un seul et même vocable à l’instar de son opposé « croyants » qui inclut hommes et femmes de foi. Jusqu’à cette date, en fonction de S2.V221 et S60.V10, étaient interdits de mariage aux musulmans et aux musulmanes les seuls polythéistes. Il est nécessaire de pousser plus avant l’exégèse des dits versets afin de rechercher si des éléments plus subtils pourraient contredire le discours apparent mais aussi, afin de mieux démonter et comprendre l’absence de fondements coraniques de la position juridique traditionnelle. Le couple doit être un lieu d’édification et de protection morale, et non un lieu de licences. 3.4.6- L'islam et le mariage mixte . Cette remarque, syntaxiquement non obligatoire, indique clairement que l’objectif incontournable du mariage est la communion dans la foi et non la jouissance physique ou matérielle. Nul grief à ce que vous les épousiez après les avoir à nouveau dotées. Alors même que pour ces légistes, le licite est l’état naturel de toutes choses et l’illicite une exception obligatoirement précisé par Dieu et/ou son Prophète ! La nourriture des Gens du Livre vous est permise tout comme la votre pour eux. Une remarque préliminaire s’impose : en ces trois versets il n’est pas employé les mêmes déterminants. La raison principale de ce changement réside dans le fait qu’un des objectifs du pacte de Hudaybyya était de séparer de manière quasi étatique la Communauté de Médine des factions polythéistes. Pour inciter à ces « démissions », il est conseillé d’épouser et de doter les musulmanes ayant fui leur époux polythéiste afin de les intégrer plus aisément à la communauté de Médine. Résumé : L’objectif de ce texte consiste à mener une analyse de deux conversations entretenues avec des personnes issues d’autres environnements culturels au sujet du mariage mixte. « Islamiquement » englobe les deux sans vouloir spécifier, créant en cela une confusion rendant l’usage de ce terme aussi risqué que fréquent. Elles ne leur sont plus licites et réciproquement. Donc, pour utiliser la seule terminologie exacte nous dirons que, si ni le Coran ni la Sunna n’interdisent ce type de mariage, le Droit musulman, le Fiqh, quant à lui se prononce sans ambiguïté et le formule clairement : « Il est interdit à une musulmane d’épouser un non musulman fût-il juif ou chrétien.«. Mais il semble que l’un des versets que vous aviez mentionné en en-tête introduit clairement une différence de statut entre les hommes et les femmes concernant ce type de mariage. 1/ Il faut garder à l’esprit que mariage mixte ou pas, un mariage est d’abord l’union de 2 personnes qui décideront ensemble de lier leur destin et leur objectif de vie. Il y a parmi les Gens du Livre une communauté droite. Switch to the light mode that's kinder on your eyes at day time. De même, on cherchera à inciter les polythéistes à divorcer de leurs épouses musulmanes en leur proposant de leur rembourser la dot. par contre je connais 3 femmes mariées à des chrétiens 1 à un athée les enfants musulmans et le comble ne se sont pas mariées dans des pays musulmans une au Canada 1 son mari belge et 1 uk donc je crois juste. Il ne s’agit pas d’une affirmation personnelle mais d’un constat dressé à partir des trois uniques versets traitant de ce sujet spécifiquement. De nos jours les imams s'accomodent de bien des choses : mariage de mixtes dont l'un n'a que le nom de musulman et l'autre rien du tout... C'est de la complaisance, les imams de regardent même pas la religiosité des mariés.Si vous tenez à faire un mariage religieux par convenance, n'importe quel imam vous mariera sans souci, suffit de pas dire que t'es pas musulman. La situation n’a guère évolué et la présence actuelle de communautés de musulmans en terre d’occident présente bien des caractéristiques communes. Tout un chacun est porteur de cette sentence. « Ce qui est excellent » est une expression, at–tayybât, de portée générale. 20 décembre 2020, 16 h 51 min, par Marwan Sinaceur En voici le texte intégral. 3 . Dans le coran, la femme est l’égale de l’homme Allah ne fait pas d’injustices, pourquoi seulement à ce niveau là il y en aurait? S5.V5 : « A ce jour vous est permis ce qui est excellent. Switch to the dark mode that's kinder on your eyes at night time. Etc. Voir aussi Ahmed Aroua, L'islam et la morale des sexes, Alger, OPU, 1992, p. 216-223, qui situe le mariage mixte à la suite d'autres "déviances" atteignant la famille musulmane d'aujourd'hui. Enfin, il convient de souligner le fait suivant : contrairement aux deux autres versets il n’y a apparemment plus de symétrie de construction. Dans ce cas rendez leur ce qu’ils avaient dépensé (en guise de dot). Ils récitent aux heures de la nuit les versets de Dieu et se prosternent. Ceux qui parmi eux auraient adopté l’Islam ? L’associant.e étant celui ou celle qui associe à Dieu autre chose. Je suis sénégalais, vous disez que vous avez la bonne religions (Islam) et que les non musulmans n’iront pas au paradis s’ils ne se reconvertissent pas alors que du jour au lendemain les musulmans disent les chrétiens sont bien éduqués, ils sont sincères, ils ne prennent pas les biens d’autrui, même les élèves musulmans étudient dans les écoles privées catholiques(car là bas l’éducation est primordiale), etc. Il rappelle et confirme l’interdit pour des musulmans, hommes ou femmes, de se marier avec des polythéistes. Cest ainsi que le verset semble inciter les musulmans… Lors du premier temps de lecture du Coran je projette sur le texte coranique ma propre pensée avant que de rechercher la pensée coranique[i]. Donc, tout comme vous, à la lecture de ces versets je conclurai que le Coran interdit le mariage d’une musulmane avec un non musulman puisque tel est l’énoncé du Fiqh et que la totalité des musulmans le professe. Le mariage islamique est différent du sacrement du mariage chrétien, c'est un contrat (nikah) qui est passé entre un homme et une femme. 19 janvier 2021, 16 h 24 min, par Marwan Sinaceur Au total, rien qui ne réponde directement à la question de base puisque le Coran ne mentionne pas explicitement l’interdiction pour une musulmane d’épouser un homme appartenant aux gens du Livre, juif ou chrétien pour faire simple. pourtant on trouve des hadith comme quoi ses petits Al Hassan et Al Hussein auraient été circoncis à 7 jours de vie. Ils soutiennent que ce verset ne donne autorisation qu’aux hommes musulmans et en concluent, par une logique de l’absurde, que le Coran interdit donc de tels mariages aux musulmanes ! Parallèlement, on comprend que le mariage entre musulmans est un choix favorable, non une garantie, pour la vie du croyant : « Dieu ainsi vous invite au Paradis et au Pardon. Cependant, préciser que celle des musulmans est elle aussi licite aux Gens du Livre semble avoir pour but d’indiquer à celui qui voudrait partager sa nourriture (dans le cadre du mariage puisque ces deux volets sont liés en ce verset) que cela lui est licite. Nous avons bien dit communion dans la foi et non préservation de la foi, le texte dit exactement cela et rien d’autre, nous reviendrons sur ce point essentiel. Comment accepter qu’un interdit divin, un « harâm », soit énoncé en l’absence d’un texte ! De même, le collectif Gens du Livre englobe hommes et femmes. Il désigne la fraction qui de tout temps a dénié le Pacte initial que l’humanité a contracté de par la volonté et la grâce de son Seigneur, ce qu’il convient au plus juste de dénommer « dénégateurs ». Totalement d’accord, il y a un fossé entre la théorie et la pratique. Ce que dit le Coran quant au mariage des hommes et des femmes musulmans avec des non musulmans. Auquel cas ce ne serait plus des Gens du Livre. Comme nous l’avions souligné, cette remarque coranique interdit de spéculer sur la nature réelle de la foi de ceux qui se déclarent croyant, dénier leur foi revient à prétendre à une science que seul Dieu possède. Ils vous appellent au Feu alors que Dieu, par Sa permission, vous invite au Paradis et au Pardon. Donc, en première lecture Coran et Sunna convergent, cohérence somme toute attendue. Nous reviendrons sur cet aspect purement éthique du verset et des sérieuses limitations qui en découlent. Toutefois, le mari a le droit de se marier avec une femme chrétienne ou une juive. Les dangers résultant d'un mariage mixte Date: 6-2-2008 Je suis un musulman marié avec une chrétienne et j'ai des enfants d'elle. La chaîne Maktabatou Athar as-sâlikîne propage les enseignements des savants de la Sounnah sur la méthodologie des pieux prédécesseurs. « Quiconque dénie la foi détruit ses œuvres… ». Le mariage de la musulmane avec le non-musulman dans l’Islam moderne Les législations arabo-musulmanes contemporaines maintiennent la prohibition de ce type de mariage [ 9 ] . C. est une future mariée qui par amour fait beaucoup de concessions pour son chéri. Ce faisant, il limite le champ du mariage à la vertu et au bon comportement. Aucune ambiguïté, il est présentement interdit aux musulmans, hommes ou femmes, d’épouser un polythéiste. Oumma est un site d’information portant un regard musulman sur l’actualité et proposant des dossiers sur l’Islam et le monde musulman. Donc, il peut être envisagé que des musulmanes mangent avec les adeptes de ces religions ce qui, dans le contexte, signifie qu’elles en sont les épouses. Aujourd’hui, nous vous parlons du déroulé type d’un mariage musulman.De la veille de l’événement au lendemain du mariage, découvrez comment se passe une cérémonie et une fête réglementées par l’Islam.A noter que les traditions et rituels peuvent varier selon les régions, les pays et le degré de croyance des futurs mariés et de leurs familles. 10 novembre 2008, 1 h 57 min Le mariage islamique possède des règles que tout pratiquant de la religion musulmane se doit de suivre et veiller à les respecter. Ne prenez pas pour époux des polythéistes à moins qu’ils ne deviennent croyants. Vous affirmez dans votre ouvrage « Que dit vraiment le Coran » que le Coran autorise le mariage entre une musulmane et un non musulman. Il advint que des musulmanes mariées à des polythéistes mecquois fuirent alors la Mecque. Question: Direz-vous aujourd’hui que les chrétiens et les juifs iront au paradis si ils meurent de nos jours sans se convertirent à l’islam? Il qualifie, logiquement, plus particulièrement ce qui par la suite va être mentionné dans le verset, à savoir : la nourriture de tous les croyants quelles que soient leurs obédiences monothéistes, et le mariage avec des femmes vertueuses quelles que soient leurs obédiences monothéistes. Le Coran, semble comprendre quil puisse y avoir des affinités entre un croyant ou une croyante et une personne polythéiste, mais recommande fortement déviter une telle alliance. Kawâfir est un des pluriels du féminin kâfira et il n’est employé qu’en cet unique verset. Malgré tout, ce type de raisonnement ne constitue pas à lui seul une preuve, mais il prendra valeur en fonction du faisceau convergent suivant : La symétrie de propos était stipulée dès le début du verset, le « vous est permis » concernant bien évidemment les hommes et les femmes.